La plupart des gens considère la douche comme un rituel quotidien comme à la fois de l’hygiène et de la relaxation : alors que des bulles de savon et de l’eau ruissellent sur le corps, l’eau chaude calme à la fois les muscles et le mental dans sa chaude caresse.
Cependant, des recherches scientifiques et médicales ont pointé que des douches à l’eau froide ont plusieurs bénéfices sur la santé et sur l’environnement.
Il semble logique de considérer les nombreux mythes et superstitions en lesquels les humains croient en grandissant.
De nombreuses personnes (spécialement les mères!) associent l’eau froide avec la maladie, croyant que trop d’eau froide favorise les maladies, que les douches froides sont réservées aux endroits et aux situations austères, comme l’armée.
Cependant des études ont prouvé que comparées au douches chaudes, les douches froides produisent bien plus un renforcement du système immunitaire, un renforcement des globules blancs. Une autre étude conduite par une équipe de chercheurs allemands a trouvé qu’une immersion dans l’eau froide régulière permet au corps de graduellement se construire une résistance aux forces oxydantes dans le corps. Le renforcement du globule blanc est attribué à la réponse métabolique du corps au choc de l’eau froide. Alors que le corps essaie de se réchauffer, les taux du métabolisme augmente, activant le système immunitaire et produit des globules blancs.
Des taux métaboliques plus élevés signifient que le corps brûle des calories et des graisses, et a des effets sur les problèmes de poids. Cependant une publication dit qu’une exposition prolongée à l’eau froide développe une couche protectrice de graisse pour protéger de l’hypothermie
Le dernier bénéfice des douches froides est d’augmenter la fertilité masculine. Les douches chaudes entraînent une augmentation de température du scrotum qui fait diminuer la production de spermatozoïdes.
Un des faits les plus concrets concernant les douches froides est leur avantage environnemental. Les douches froides sont bien plus écologiques que les douches chaudes, car elles nécessitent moins d’énergie et de ressources.
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Références:
Tipton MJ, Mekjavic IB, & Eglin CM (2000). Permanence of the habituation of the initial responses to cold-water immersion in humans. European journal of applied physiology, 83 (1), 17-21 PMID: 11072768Siems WG, Brenke R, Sommerburg O, & Grune T (1999). Improved antioxidative protection in winter swimmers. QJM : monthly journal of the Association of Physicians, 92 (4), 193-8 PMID: 10396606
Article original by United Academics Magazine.